Kanikōsen (蟹工船 - le bateau usine)

C'est le titre d'une nouvelle de Takiji Kobayashi écrite en 1929.

Cette nouvelle décrit des conditions de travail effroyables. Elle désigne au Japon tous les boulots, tous les emplois qui se distinguent par leur barbarie.

Selon Wikipédia,

On est en 1925/30, en Mer d’Okhotsk, près du Kamtchatka, sur un bateau-usine japonais pêcheur de crabes. Les conditions de travail sont effroyables, mais rendues vraiment inhumaines à cause d’Asakawa, l’intendant qui représente les intérêts commerciaux de la compagnie. Il frappe les hommes, leur inflige des punitions corporelles, et empêche même le capitaine de se porter au secours des navires en difficulté dans leur secteur. Quand les russes les save du bateau perdu, on sait que les étrangers sont aussi d'être humaine comme ils-même. Un ouvrier étudient dit que la situation du bateau-usine est pire que la prison dans le Souvenirs de la maison des morts par Dostoievski. Petit à petit une idée germe dans les cerveaux des marins et des ouvriers, poussés dans leurs derniers retranchements : grève, la rébellion ouverte.